7 Façons de se planter avec les objets connectés?
En 2014, les Objets Connectés faisaient leur entrée dans le dictionnaire d’Idelog.
Trois ans plus tard, les réussites mais aussi les échecs des projets d’implémentation conduisaient Brian BUNTZ à nous mettre en garde en nous signalant 7 raisons pour lesquelles un projet d’Internet des Objets pouvait se planter. Les voici en commençant par les moins spécifiques :
1 – incapacité à vendre le projet à toutes les parties prenantes sur l’ensemble de la chaîne logistique,
2 – investissement insuffisant dans le management du projet,
3 – focalisation sur la technologie plutôt que sur les résultats,
4 – sous-estimation des risques liés aux fournisseurs,
5 – sous-estimation des risques liés au piratage ou à la protection des données personnelles,
6 – difficulté de mise à jour, de remplacement ou de substitution des composants,
7 – absence de plan B ou de stratégie de sortie.
J’en ajouterai un huitième qui traduit la contradiction avec laquelle nous devons vivre avec les objets connectés
8 – ne pas envisager une solution qui soit à la fois agile et pérenne.
Dans un monde en effervescence, sinon en ébullition, où des nouveaux objets, de nouvelles solutions nous sont proposés, quasiment en continu, le risque de disparition des fournisseurs, de caducité accélérée des solutions, nous demande d’être à la fois réactif, proactif, et « préventif« et surtout pas « gadgetomaniaques« .